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rechercher chercher: le bio pour tous l'amap de la rochette participera à la manifestio pour promouvoir l'agriculture locale , le samedi 23 avril 2017 à détrier on compte sur vous. on vus donneras plus de détails, bientôt, en tout cas, c'est aussi l'occasion de s'inscrire en amap pour le début de la saison 2016. l'amap participera au forum des associations de la rochette le dimanche en sept 2017 ce jeudi 28 mai 2015 dans le cadre de la semaine du développement durable, nous avons renouvelé avec succès notre apéro dinatoire. c'est l'occasion de faire un break, de partager de bonnes recettes de cuisine, de rencontrer les producteurs. le temsp était parfait ! nous avons aussi intégré de nouvelles adhérentes. depuis le mois d'avril 5 familles nous ont rejoint, il reste encore quelques places! l’amap garantit : au consommateur des aliments frais , de saison et localement produits, au producteur un débouché. cela lui permet de reporter ses coûts sur la totalité de sa production et de lui assurer un revenu stable en lui donnant la possibilité d’anticiper son budget . bienvenue sur le site de l'amap de la rochette les amap, ou association pour le maintien d'une agriculture paysanne, sont nées, en 2001 en france, d'une prise de conscience citoyenne face à la situation de crise importante dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation. insécurité alimentaire, impératifs écologiques, déperdition des agricultures paysannes au profit d'agricultures productivistes, forte pression foncière sur les terres agricoles, hégémonie de la grande distribution et inégalité alimentaire nord-sud : autant d'enjeux qui ont mobilisé citoyen-ne-s et paysan-ne-s pour inventer et expérimenter un autre modèle agricole et alimentaire. résolument basées sur une conception de partage, les amap visent à une transformation sociale et écologique de l'agriculture et de notre rapport à l'alimentation en générant de nouvelles solidarités entre paysan-ne-s et citoyen-ne-s. elles sont des alternatives concrètes qui émergent de la société civile. elles ont pour objectifs : ▪ de soutenir et de développer une agriculture locale, économiquement viable, socialement équitable et écologiquement soutenable, créatrice d'emploi, de l i et de dynamique territoriale, ▪ de promouvoir concrètement un rapport responsable et citoyen à l'alimentation, ▪ de faire vivre une économie de proximité, équitable, sociale et solidaire, ▪ de contribuer à une souveraineté alimentaire territoriale en lien de solidarité avec les paysan-ne-s du monde. concernant les terminologies : → est appelé « amap », le collectif formé de l’ensemble des amapien-ne-s et paysan-ne-s engagé-e-s dans un partenariat solidaire, local, sans intermédiaire et contractualisé. → est appelé « amapien-ne », une personne physique signataire d’un ou plusieurs contrats d'amap en cours de validité avec un ou des paysan-ne-s. le groupe d'amapien-ne-s bénévoles, dans une démarche non lucrative, peut se constituer en association (déclarée ou pas). d'usage, cette association peut s'appeler « amap ». → est appelé « paysan-ne en amap », un-e paysan-ne signataire d’un ou plusieurs contrats d'amap en cours de validité avec un ou des amapien-ne-s. au sein d'une amap, amapien-ne-s et paysan-ne-s sont coproducteurs d'un nouveau rapport à l'agriculture et à l'alimentation. les paysan-ne-s retrouvent leur liberté de décision et d’initiative, les amapien-ne-s s’émancipent de la consommation. ils s'engagent mutuellement à respecter les principes de la charte des amap. les amap : appliquer les 6 principes pour développer et faire vivre les fondements des amap 1. l’engagement des consom'acteurs a- l’engagement d’achat à l’avance recommandations : rédaction d’un contrat de préfinancement (cf. i. paiement de tout ou partie des produits avant leur distribution. paiement total à la signature en une ou plusieurs fois. pas d’ajustement du coût du panier d’abonnement en cours de saison (assimilation à un marché, car il y a échange d’argent à la fin du contrat). c’est légalement possible néanmoins (nécessite autorisations préfectorales ou municipales). organisation d’une période de test préalable à l’engagement contractuel. tous les engagements se prennent au même moment, en « début de saison », lorsque il est possible de satisfaire l’offre de paniers du producteurs dès le départ. possibilités : la vente directe, type « marché de producteurs », pourvu qu’elle soit motivée. b- la solidarité recommandations : stipuler dans le contrat l’acceptation d’un panier moins garni en lien avec les aléas climatiques. prévoir des moyens de discussion et régulation en cas de production inférieure et supérieure aux prévisions du producteur. organiser un comité de l’amap pour soutenir le(s) producteur(s) partenaire(s) en fonction de ce que ce dernier accepte. rechercher des alternatives pour la solidarité avec des consommateurs moins aisés, mais aussi pouvant être freinés par d’autres conceptions de consommation (réflexions avec des travailleurs sociaux, des personnes en difficulté financières, des personnes non-habituées à consommer des produits de qualité. c- la participation recommandations : un comité de l’amap (ou conseil d’administration) pour l’organisation des distributions, les visites des fermes partenaires (cf.i, la promotion de l’amap, la relation avec le réseau des amap (comité de développement) et l’organisation de bilans de saison (évaluation de l’application des 6 principes de l’amap et questionnaire de satisfaction des consommateurs – cf. i. chaque adhérent participe à une action au moins une fois dans l’année (lien producteur consommateur pendant la distribution, atelier, débat ou action collective (cf. i). tenue d’une liste d’adhérents (contractualisants). gestion des listes d’attente. tenue d’une feuille de distribution par produit et par producteur. tenue d’un budget. la structuration en association loi 1901 (cf. i. organisation d’ateliers de réflexions et d’ actions pour le développement d’une agriculture paysanne et biologique (débats, ateliers pédagogiques sur les fermes partenaires, soutien à l’installation, actions sur le foncier agricole) sachant que le producteur doit rester maître de ses choix . possibilités : gestion de la remise régulière des chèques aux producteurs. 2. l’engagement des paysans a- la production recommandations : maîtrise des techniques de production pour une exploitation en vente directe (cf. i. mise en œuvre des critères d’une agriculture paysanne. organisation de la production pour une distribution régulière (calendrier prévisionnel). gestion des défections et surproductions. la proximité entre la ferme et le lieu de livraison. b- la transparence recommandations : répondreaux questions des consommateurs. se référer au cahier des chartes de l’agriculture biologique et à la charte de l’agriculture paysanne pour expliquer ses contraintes, spécificités et atouts. communication sur les conditions et aléas de production et recherche de solutions (ex : dates de distributions + souple pour les fruits, report du contrat en cas de défection. expliquer sa « politique de prix » (cf. i. faire un auto-diagnostic ou faire appel à un technicien agricole pour mieux évaluer ses pratiques au regard de l’agriculture paysanne et biologique. c-la pédagogie ecommandations : visite de ferme. expliquer la ferme par oral et un support écrit. développer des outils pédagogiques et de liaison avec les consommateurs (feuille de chou, ateliers à la ferme, techniques d’animation, site internet…) 3- les outils pour l’application des 6 principes a-pour l’abonnement : le contrat recommandations : il précise les modalités d’engagement des consommateurs (abonnement, solidarité, participation) et des producteurs (régularité, transparence, pédagogie) et leurs coordonnées. il stipule les produits distribués par le producteur partenaire au consommateur contractualisant (à partir d’un planning de production et de distribution joints en annexe) et le lieu, jour, créneau horaire